SOS TRANSPHOBIE

SOS TRANSPHOBIE

Pétition


Signez la pétition en ligne pour demander la dissolution de l’Ordre des médecins

#DissolutionOrdreDesMedecins - Je signe la pétition pour demander la dissolution de l'Ordre des Médecins :

 

Emmanuel Macron dissolution de l'Ordre des médecins !

 

#DissolutionOrdreDesMedecins

 

 

 

 

L'Ordre des médecins a été créé sous Pétain en 1940, pour interdire aux médecins juifs d'exercer leur profession. Depuis plusieurs années, associations d'usager.es et médecins dénoncent la nocivité de l'ordre des médecins. Récemment, dans son rapport, la Cour des Comptes a mis en évidence les multiples défaillances de l'Ordre des Médecins.


Qui l'ordre sert-il vraiment ? 

 

L'Ordre des médecins se présente comme étant "au service des médecins dans l'intérêt des patients".

 

 

L'Ordre des médecins se dit garant de la probité et de l'indépendance des médecins.

 

  • Mais comment peut-il s'estimer garant de la probité les aides financières pour les médecins en difficulté sont encaissées en premier par les conseillers ordinaux eux-mêmes, avec des indemnités pouvant aller jusqu'à 10 000€ par mois ?
  • Comment peut-il défendre l'indépendance alors qu'il se montre complaisant vis-à-vis des pratiques corruptives exercées par l'industrie pharmaceutique au profit des médecins ?

 

L’Ordre déclare également assurer un rôle d’instance disciplinaire pour les médecins qui ne respecteraient pas les principes de la déontologie. 

 

En réalité, on constate d'un côté une "tolérance" vis-à-vis de médecins ayant commis des actes violents envers des patient·es et de l'autre côté la condamnation des médecins qui ont établi un lien entre des pathologies et des conditions de travail.

Cette justice d'exception se fait au détriment des intérêts publics et des patient·es; elle n'a donc aucune raison d'être. Le droit commun (pénal et/ou civil) est parfaitement capable de remplir ces fonctions juridiques à condition qu'on lui donne les moyens associés, notamment la possibilité de prononcer des sanctions limitant l'exercice médical.

 

L'Ordre des médecins protège des professionnel·les de santé corrompu·es et maltraitant·es, tout en maltraitant des usager·es et des professionnel·les qui tentent de respecter leur éthique professionnelle. De plus, il échoue à assurer les missions qui lui sont dédiées.

Nous ne réclamons pas une dérégulation complète de l'exercice médical, ce qui serait préjudiciable à la santé publique. Nous demandons en revanche un contrôle plus démocratique et plus juste du pouvoir médical. Il existe déjà des institutions (ou des organismes publics) pouvant assurer ces missions, sous réserve de leur donner les moyens humains et financiers à la hauteur.

Comme l'Ordre des médecins est irréformable, je signe cette pétition demandant sa dissolution immédiate :

Emmanuel Macron dissolution de l'Ordre des médecins !

 


15/04/2021
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Signez la Pétition : Transphobie - Refus de la plainte du Parquet du Procureur d'Angers

 

Justice pour la Femme Transgenre agressée et menacée de mort.

 

La veille du 8 mars 2018 de la Journée Internationale des Droits des Femmes, elle a reçu du Procureur de la République Yves Gambert d'Angers un avis de classement sans suite, alors que la plainte est caractérisée et aggravéé en raison de son identité de genre. 

 

L'impunité à cause d'être Trans, ce n'est pas normal cette décision !

 

Nous signalons que souvent les Forces de l'ordre et les Parquets du Procureur n'appliquent pas les lois en vigueur contre les actes de violences et de discriminations venant des transphobes à l'égard des Personnes Trans en raison de leur identité de genre en France.  

 

Signez la Pétition : Inacceptable Refus de la Plainte du Parquet du Procureur d'Angers

 

    SOS T.jpg

 

Épilogue - Les faits :

 

Fin octobre 2017, une femme trans, locataire dans un ensemble d’Angers, rentre de courses avec un ami.


Lorsqu’elle sort de son véhicule, elle est frappée et jetée à terre, dans son sous-sol, par un voisin qui n’a pas apprécié qu’elle ne le salue pas.


C’était le même homme qui l’avait insultée plusieurs jours auparavant, insistant sur son identité de genre.
 

Après avoir contacté QUAZAR, la victime hésite à porter plainte suite aux menaces de mort de son agresseur.


48h après réflexion, elle fait preuve de courage en allant déposer dans son commissariat, décidée à ne pas laisser passer.

 

Un classement sans suite inacceptable

 

Au bout de quatre mois, juste avant la Journée internationale des droits des femmes, cette angevine vient de recevoir un avis de classement sans suite :


« L’examen de la procédure ne justifie pas de poursuites pénales au motif que les faits ou circonstances des faits dont vous vous êtes plaint(e) n’ont pas pu être clairement établis par l’enquête. » (sic.)

 

Lorsqu’un homme frappe une femme, la jette à terre, que ses coups sont filmés par la caméra de surveillance du sous-sol, il ne peut y avoir un classement sans suite.


Les faits sont avérés. Il s’agit d’un délit passible de poursuites.

 

L’identité de genre, le parquet d’Angers ne connaît pas.

 

QUAZAR, association d’assistance aux victimes, a signalé cette plainte à Yves Gambert, procureur de la République d’Angers, en lui demandant sa requalification pour retenir la circonstance aggravante de la commission de ces violences en raison de l’identité de genre de la victime, omise lors du dépôt de plainte au commissariat.

 

Les propos de l’agresseur contenus dans la plainte, soigneusement rapportés par la victime, en attestent : 


« Je vais te défoncer comme un homme, car je te vois comme un homme. »


Propos en écho à ses menaces : « J’en n’ai rien à foutre des schmitts, je te découpe à la machette, je te fais assassiner si tu portes plainte. »

 

Malgré ces éléments, Yves Gambert, procureur de la République d’Angers, et ses collègues parquetiers, ne protègeront pas cette femme trans pour les violences et menaces qu’elle a subies de la part d’un homme au physique puissant.


Malgré ces éléments, Yves Gambert et ses collègues parquetiers, ne protègeront pas cette femme trans en ne prenant pas en considération le critère pénal de l’aggravation des faits dus à son identité de genre. 


En Maine-et-Loire, l’identité de genre n’est jamais retenue lors des dépôts de plainte, alors que pourtant tous les éléments sont bien présents dans la plainte.

 

En cela, Yves Gambert, en tant que procureur de la République d’Angers, en porte la responsabilité professionnelle.


Il est procéduralement responsable de la bonne qualification des plaintes, tant au moment de leur prise, avec la formation des policiers et gendarmes et les directives qu’il doit donner en ce sens, que pendant l’étude du dossier par le parquet.


Encore aurait-il fallu que ce dossier soit connu du Bureau d’ordre pénal du Tribunal de grande instance d’Angers, au bout de trois mois d’enquête !


QUAZAR dénonce la politique pénale du parquet d’Angers qui ne poursuit pas l’agresseur de cette femme trans angevine.


Une des raisons non évoquée est qu’elle ne peut justifier de jours d’incapacité totale de travail, alors que pourtant l’agression a été filmée.

 

A Angers, désormais on peut violenter une femme trans, la jeter à terre, la menacer de mort si elle ose déposer plainte.

Texte de Stéphane Corbin,
référent pôle juridique, défense des droits, accompagnement des victimes de Quazar, Centre LGBT d’Angers.

 

Signez la PétitionInacceptable Refus de la Plainte du Parquet du Procureur d'Angers

 

 

Mise à jour le 26 juin 2019 : Mardi 25 juin 2019, le tribunal correctionnel d’Angers a condamné Louis-Marie VERRON pour violences volontaires à l’encontre d’une femme trans angevine.

 

Les faits ont été requalifiés en régime contraventionnel et l’agresseur a été condamné à une amende de 150€.

 

La circonstance aggravante de la transphobie n'a pas été retenue en raison de son identité de genre. Cette décision de ce tribunal est inacceptable. Lire le communiqué de QUAZAR.

              Drapeau Transgenre.jpg



26/06/2019
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Signez la pétition pour que "Psychologies Magazine" respecte les droits des Personnes Trans

 

Signez la pétition pour que " Psychologies Magazine " reconnaisse et respecte les droits et les identités des Personnes Trans.

Signez la pétition !  Transphobie de Psychologies Magazine :

 Pour que " Psychologies Magazine " respecte les droits des Trans

 

Sign the petition ! Transphobia de Psychologies Magazine :

 For " Psychologies Magazine " recognizes the rights of Trans People

 

                              Transphobie de Psychologies Magazine - Mars 2014.jpg

 

Transphobie de Psychologies.com dans son numéro du mois de mars 2014; des propos transphobes inacceptables de Psychologies Magazine envers les personnes trans de genre binaires ou non-binaires à cause de leur genre à raison de leur identité et de leur sexe.

 

POURQUOI C'EST IMPORTANT

Dans le numéro de mars 2014 de
Psychologies Magazine, la "célèbre psy Claude Halmos" répond à la question de Lucie, 6 ans :

"Je veux devenir un garçon. Pourquoi ce n'est pas possible" ?

Réponse de Claude Halmos :

" Tu ne peux pas devenir un garçon Lucie, parce que tu es née, comme ta mère, dans un corps de fille. De même que ton frère est né, comme ton père, dans un corps de garçon. Et ça, on ne peut pas le changer. Parce que l'on ne peut pas revenir en arrière et renaître dans un corps différent. Cela fait partie des limites que la vie nous impose. Elles peuvent nous mettre en colère parce que nous aimerions n'en avoir aucune et pouvoir réaliser tous nos désirs et accomplir tous nos rêves. Devenir fille si on est garçon ou garçon si on est fille. Ou même être (pourquoi pas ?) les deux à la fois. Et en plus voler comme les oiseaux et nager comme les poissons. On aimerait bien, mais ce n'est pas possible(...) "

Ce magazine à grand tirage doit reconnaitre l'expérience intime et personnelle de son genre profondément vécue par chacun, qu’elle corresponde ou non au sexe assigné à la naissance, contrairement à ce qu'avance Claude Halmos.

Parce que s’affirmer homme ou femme n’est pas une question de choix ou de volonté et ne relève pas d’une décision arbitraire, conjoncturelle ou fantasmatique. C'est un processus d'affirmation lié à une conviction profonde, souvent ressentie depuis l’enfance, ne relevant pas d’une identification passagère mais bien de l’identité même du sujet.

L'ignorance n'excuse pas ces propos transphobes surtout venant de "psy" !

 

" Apprenez des Trans et non pas l'inverse Imposer un sexe binaire et Nier la transidentité ou la transsexualité. Vous avez besoin sérieusement de participer à des sessions de formation sur la diversité axée sur les questions de l'expression et l'identité de genre de ces personnes, afin de respecter leurs identités, leurs besoins, leurs droits et leurs dignités humaines ".

 

Signez la pétition : Pour que " Psychologies Magazine " respecte les droits des Trans

 

Sign the petition : For " Psychologies Magazine " recognizes the rights of Trans People

 

 


13/03/2014
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Signez cette pétition pour dire à l'Organisation Mondiale de la Santé : arrêtez de considérer la transsexualité comme « une maladie mentale »

 

 

Signez cette pétition mondiale, cette lettre pour dire à l'OMS, les personnes trans ne sont pas des « malades mentaux ».           

   

Signez : cliquez ici pour la pétition Française

 

  

Vidéo de personnes trans pour dire: arrêtez de considérer la transidentité ou la transsexualité comme une maladie mentale.

 

De nombreuses personnes soutiennent cette pétition dans d'autres pays:

  

Espagne: http://www.change.org/noestoyenferma
Canada: http://www.change.org/notsick
Italie: http://www.change.org/iononsonomalata
Royaume-Uni : http://www.change.org/transnotsick
Allemagne: http://www.change.org/who

 


22/10/2012
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Signez la pétition mondiale pour l'OMS, l'organisation mondiale de la santé: les personnes trans ne sont pas des « malades mentaux »

 

 

Signez cette pétition mondiale, cette lettre pour dire à l'OMS, les personnes trans ne sont pas des « malades mentaux ».

 

Signez : Cliquez sur ce lien pour signer cette pétition pour l'OMS

 

Arrêtez de considérer la transidentité ou la transsexualité comme une maladie mentale.

 

        

 

De Jenna Talackova,Vancouver (Canada).


Je ne suis pas malade. En fait, je suis géniale ! Je suis une femme qui a dû subir des procédures médicales " Transgender ", pour devenir qui je suis vraiment à l'intérieur.

 

Mais l'Organisation mondiale de la santé (OMS) insiste sur le fait que moi, et des millions d'autres personnes trans sont « malades mentaux ». L'OMS considère effectivement le transsexualisme comme un trouble mental.

 

Pour affronter et surmonter la discrimination pour être une femme trans retour en mars, quand j'ai été expulsée, puis réadmis pour le concours de Miss Univers. Je travaille à lutter contre la stigmatisation et la discrimination, que rencontre les personnes trans comme moi.

 

Rejoignez-moi en signant cette pétition, et demander à l'Organisation mondiale de la santé d'arrêter de considérer les trans des « malades mentaux ».

 

L'OMS est définitivement prête à reconsidérer leur choix.

 

L'homosexualité a été effectivement inclus dans la liste de l'Organisation mondiale de la santé, même jusqu'en 1990, quand elle a été retirée après que la communauté gay a fait beaucoup de bruit. Cela ne signifie pas non plus que nous ne devrions pas être inclus dans le système de santé, et à nous fournir des traitements, cependant, cela n'a rien à voir avec nous , comme étant classés comme des « malades mentaux ».

 

Merci!
Jenna

 

 

 

Pétition Lettre


Le transsexualisme fait toujours partie de la liste de l'OMS de la maladie mentale.

Considérant les personnes trans comme mentalement malade sert seulement à contribuer à la discrimination.

Ainsi, de nombreux pays ont demandé à l'OMS de retirer la transsexualité de la liste. Même le Parlement européen en Septembre 2011 a adopté une résolution appelant l'OMS à cesser de considérer la transsexualité comme une maladie mentale.

 

Mais aujourd'hui, la transsexualité est toujours là.

L'OMS révise la classification. Il est temps de dire haut et fort: les trans ne sont pas
« malades mentaux ». Comme ce fut le cas avec l'homosexualité, qui est sorti de cette liste en 1990, il est maintenant temps de cesser de stigmatiser les personnes trans.

Avec la révision de la Classification internationale des maladies (CIM 11) qui aura bientôt lieu, nous vous demandons de cesser de considérer la transsexualité comme une maladie mentale.

Cela ne signifie pas que les personnes trans doivent être exclus du système de santé: les femmes enceintes ne sont pas malades mentaux, mais elles ont des protocoles médicaux et de l'assistance. La même chose devrait se produire avec les personnes trans.

Merci

[Votre nom]

 

 


11/10/2012
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Signez notre carte postale-pétition pour demander à l'union européenne d'agir pour les droits humains et de combattre activement les discriminations

 

C'est l'été en Europe mais les droits humains ne prennent pas de vacances.

Signez notre carte postale-pétition pour demander à l'union européenne d'agir pour les droits humains et de combattre activement les discriminations :

http://www.amnesty.eu/fr/press-releases/sign-the-petition/#Conten

 

 

 

 

Madame Reding,

La Commission européenne a décidé que 2013 serait l’année européenne des citoyen(ne)s et de leurs droits. En tant que Commissaire de la Justice, des Droits fondamentaux et de la Citoyenneté, vous avez lancé un questionnaire en ligne sur les obstacles rencontrés lorsque nous essayons de jouir de nos droits. Il est regrettable que vos questions ne fassent aucune référence aux violations des droits les plus fondamentaux. Car, lorsque nous ne pouvons les exercer, nous sommes également dans l’impossibilité d’accéder aux droits mentionnés dans votre questionnaire. Malgré son obligation  de respecter et promouvoir les droits humains,  l’Union européenne (UE) ferme les yeux sur les violations commises par ses Etats membres. Elle est en cela loin de garantir  la protection de nos droits humains.

La Commission européenne a décidé que 2013 serait l’année européenne des citoyen(ne)s et de leurs droits. En tant que Commissaire de la Justice, des Droits fondamentaux et de la Citoyenneté, vous avez lancé un questionnaire en ligne sur les obstacles rencontrés lorsque nous essayons de jouir de nos droits. Il est regrettable que vos questions ne fassent aucune référence aux violations des droits les plus fondamentaux. Car, lorsque nous ne pouvons les exercer, nous sommes également dans l’impossibilité d’accéder aux droits mentionnés dans votre questionnaire. Malgré son obligation  de respecter et promouvoir les droits humains,  l’Union européenne (UE) ferme les yeux sur les violations commises par ses Etats membres. Elle est en cela loin de garantir  la protection de nos droits humains.

Madame la Commissaire, il est temps de vous mobiliser pour les droits humain de tous au sein de l’UE. Veuillez  pour cela écouter  notre réponse aux questions que vous avez omises de poser !

L’UE connaît deux des plus graves déficits en matière de droits humains, qui empêchent également l’accès à d'autres droits. Il s’agit de la discrimination et la violence à l’égard des femmes. Vous auriez dû poser des questions plus pertinentes, comme:

  • Avez-vous été victime de discrimination à l'école ou au travail?
  • Avez-vous, ou votre mère ou vos amies subi une attaque violente simplement pour le fait d’être femme?

Des millions de personnes à travers l'Europe luttent pour accéder à l’éducation, ou obtenir un emploi et un logement.  Beaucoup ne peuvent pas se déplacer librement. Pourquoi? Parce que la montée de l'intolérance nie aux Roms l’accès au logement, empêche les Musulmans d'obtenir un emploi, et ferme les yeux sur les intimidations homophobes dans les écoles, pour ne citer que quelques exemples. Alors que leur niveau et champ de protection est déjà limité, certains pays n’appliquent tout simplement pas correctement les lois européennes en matière d’anti discrimination. Ainsi, des millions de personnes sont exposées à des discriminations sans espoir de justice.

Un quart des femmes européennes sont victimes de violences physiques, et une sur dix est exposée à des violences sexuelles au moins une fois dans sa vie. On estime à un demi-million le nombre de femmes et des filles qui vivent avec les séquelles des mutilations génitales féminines (MGF) en Europe. Chaque année, 180 000 jeunes filles courent le risque d’être mutilées. Les travailleurs sociaux et de la santé sont frustrés car ils n'ont pas les connaissances ou les lignes directrices nécessaires pour aider leurs clientes.

Madame la Commissaire, merci de parler pour tous et de vous assurer de :

  • Jouer un rôle central dans le renforcement de la protection des droits humains au sein de l’UE. Ceci nécessite de concevoir un programme ambitieux pour  une politique interne de droits humains qui adresse les défauts existants et mette fin aux violations de nos droits
  • Combattre toutes les discriminations. Cela implique un suivi efficace de la façon dont les Etats européens appliquent les législations en matière d’anti-discrimination et nécessite également de combler les lacunes de protection, par l’amélioration des normes anti-discrimination de l’UE
  • Mettre fin à la violence à l’égard des femmes, y compris aux mutilations génitales féminines comme s’est engagée à le faire la Commission en 2010. Ceci suppose de développer une stratégie ambitieuse contre ces formes de violences et un plan d’action contre les MGF avec les communautés concernées

05/08/2012
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